RENCONTRES CHORÉGRAPHIQUES INTERNATIONALES de Seine-Saint-Denis

15.06.2018 > 16.06.2018
Salle Maria Casarès
danse

ven 15 juin à 20h
sam 16 juin à 18h
salle Maria Casarès

Festival défricheur dédié aux écritures chorégraphiques contemporaines, les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis présentent des œuvres portant un regard aigu et poétique, un questionnement constant sur notre monde.

GIKOCHINA-SA / ぎこちな さ de MYLÈNE BENOIT (France)
ven 15 juin à 20h
sam 16 juin à 18h
| enchaînement possible avec la soirée de clôture
salle Maria Casarès | création | première mondiale
2 danseurs et 2 musiciens | 70 minutes

C'est un projet de recherche et de création chorégraphique qui s’intéresse à l’expression chez l’individu de mouvements anormaux et involontaires tels que les tics et les dyskinésies. S'inspirant des arts des mouvements traditionnels japonais, Mylène Benoit incite l’imaginaire de l’interprète, des spectateurs et le sien, à de nouvelles expériences du geste dansé. Elle fabrique une poétique, une langue des mouvements involontaires, de ceux que le corps produit malgré lui. La dyskinésie est ici plus qu’un symptôme, c’est aussi l’expression indomptée d’un désordre, tout un langage gestuel réfractaire au code.


danse

Festival défricheur dédié aux écritures chorégraphiques contemporaines, les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis présentent des œuvres portant un regard aigu et poétique, un questionnement constant sur notre monde.

GIKOCHINA-SA / ぎこちな さ de MYLÈNE BENOIT (France)
ven 15 juin à 20h
sam 16 juin à 18h
| enchaînement possible avec la soirée de clôture
salle Maria Casarès | création | première mondiale
2 danseurs et 2 musiciens | 70 minutes

C'est un projet de recherche et de création chorégraphique qui s’intéresse à l’expression chez l’individu de mouvements anormaux et involontaires tels que les tics et les dyskinésies. S'inspirant des arts des mouvements traditionnels japonais, Mylène Benoit incite l’imaginaire de l’interprète, des spectateurs et le sien, à de nouvelles expériences du geste dansé. Elle fabrique une poétique, une langue des mouvements involontaires, de ceux que le corps produit malgré lui. La dyskinésie est ici plus qu’un symptôme, c’est aussi l’expression indomptée d’un désordre, tout un langage gestuel réfractaire au code.


ven 15 juin à 20h
sam 16 juin à 18h
salle Maria Casarès