STILL IN PARADISE

26.03.2019 > 11.04.2019
Jean Pierre Vernant - Plateau
Croiser les regards

26 mars > 11 avr 2019
salle Jean-Pierre Vernant

durée 2h
du lundi au vendredi à 20h
samedi à 18h
relâche le dimanche

"Il y a ceux qui jouent la réalité, et plus encore, qui nous la font jouer avec eux. Ceux qui ne maquillent pas, qui n'embellissent pas, qui ne déforment pas... Yan Duyvendak et Omar Ghayatt sont de ces artistes-là." Scènes magazine

"On fait face à une sincérité frappante, une restitution sans filtre des enjeux que leur expérience soulève. On nous montre ce qui est dur à voir, et nous dit ce qui est dur à entendre. On plonge notre regard à travers celui de l’Autre, dans lequel on voit notre image en reflet. Une expérience violente et nécessaire." I/O Gazette - Lea Malgouyres

"Une interactivité autant dans l'espace de la salle que dans les mentalités. Tantôt déconcertant, drôle, grinçant, émouvant... à chacun de se frayer son propre chemin dans cette histoire." France Culture, Alisonne Sinard

"La proposition la plus originale est incontestablement Still in Paradise [...] le spectacle se fait ensemble et avec tous. L’échange n’est pas un procédé interactif, c’est le principe actif de la représentation qui lui donne à chaque fois sa singularité." L'humanité, Marina Da Silva

Comment un européen et un égyptien dialoguent-ils par-dessus les préjugés ? Yan Duyvendak et Omar Ghayatt confrontent leurs points de vue dans un spectacle participatif.

L’un est néerlandais et athée. L’autre, égyptien et musulman. Ils travaillent ensemble depuis dix ans et ont traversé des malentendus, des conflits même. De cela, Yan Duyvendak et Omar Ghayatt ont tiré un spectacle composé de douze fragments. Chaque soir, le public est appelé à voter pour les séquences qu’il souhaite voir. Lesquelles choisirez-vous ? La question de la représentation des Arabes au cinéma ou bien celle des clichés sur la sexualité occidentale qui circulent en Égypte ? Préférez-vous entendre un témoignage sur le Printemps arabe ou sur la réaction de part et d’autre de la Méditerranée suite aux attentats du 11 septembre 2001 ? Sans mâcher leurs mots, avec autodérision et un brin de provocation, les performeurs racontent, se souviennent, mobilisent l’image vidéo et quelques objets pour créer des situations. Ce spectacle sur la complexité encourage à regarder en face nos idées reçues pour les interroger et mieux se comprendre. Il marque aussi le retour de Yan Duyvendak au Nouveau théâtre de Montreuil, après Please, Continue (Hamlet) en 2013.


avec Yan Duyvendak, Omar Ghayatt

conception Yan Duyvendak, Omar Ghayatt
traduction et performance Georges Daaboul
scénographie Sylvie Kleiber
conception graphique Nicolas Robel, B.u.L.b. grafix
management Marine Magnin
développement international Judith Martin – Ligne Directe
production et communication Charlotte Terrapon
technique Eric Mutel

production Dreams Come True (Genève)
coproduction Théâtre de l’Arsenic – Lausanne, Dampfzentrale Bern, Théâtre du GRÜ – Genève, La Bâtie – Festival de Genève
coréalisation FRAC Alsace, Montévidéo Marseille | soutiens Ville de Genève, République et Canton de Genève, Fonds municipal d’art contemporain – Genève, Loterie Romande, Pro Helvetia Le Caire, Pro Helvetia – Fondation suisse pour la culture – Zurich, Valiart Bern, Fondation Meyrinoise du Casino, Fondation Leenaards, CORODIS

Croiser les regards

Comment un européen et un égyptien dialoguent-ils par-dessus les préjugés ? Yan Duyvendak et Omar Ghayatt confrontent leurs points de vue dans un spectacle participatif.

L’un est néerlandais et athée. L’autre, égyptien et musulman. Ils travaillent ensemble depuis dix ans et ont traversé des malentendus, des conflits même. De cela, Yan Duyvendak et Omar Ghayatt ont tiré un spectacle composé de douze fragments. Chaque soir, le public est appelé à voter pour les séquences qu’il souhaite voir. Lesquelles choisirez-vous ? La question de la représentation des Arabes au cinéma ou bien celle des clichés sur la sexualité occidentale qui circulent en Égypte ? Préférez-vous entendre un témoignage sur le Printemps arabe ou sur la réaction de part et d’autre de la Méditerranée suite aux attentats du 11 septembre 2001 ? Sans mâcher leurs mots, avec autodérision et un brin de provocation, les performeurs racontent, se souviennent, mobilisent l’image vidéo et quelques objets pour créer des situations. Ce spectacle sur la complexité encourage à regarder en face nos idées reçues pour les interroger et mieux se comprendre. Il marque aussi le retour de Yan Duyvendak au Nouveau théâtre de Montreuil, après Please, Continue (Hamlet) en 2013.


26 mars > 11 avr 2019
salle Jean-Pierre Vernant

durée 2h
du lundi au vendredi à 20h
samedi à 18h
relâche le dimanche

"Il y a ceux qui jouent la réalité, et plus encore, qui nous la font jouer avec eux. Ceux qui ne maquillent pas, qui n'embellissent pas, qui ne déforment pas... Yan Duyvendak et Omar Ghayatt sont de ces artistes-là." Scènes magazine

"On fait face à une sincérité frappante, une restitution sans filtre des enjeux que leur expérience soulève. On nous montre ce qui est dur à voir, et nous dit ce qui est dur à entendre. On plonge notre regard à travers celui de l’Autre, dans lequel on voit notre image en reflet. Une expérience violente et nécessaire." I/O Gazette - Lea Malgouyres

"Une interactivité autant dans l'espace de la salle que dans les mentalités. Tantôt déconcertant, drôle, grinçant, émouvant... à chacun de se frayer son propre chemin dans cette histoire." France Culture, Alisonne Sinard

"La proposition la plus originale est incontestablement Still in Paradise [...] le spectacle se fait ensemble et avec tous. L’échange n’est pas un procédé interactif, c’est le principe actif de la représentation qui lui donne à chaque fois sa singularité." L'humanité, Marina Da Silva

avec Yan Duyvendak, Omar Ghayatt

conception Yan Duyvendak, Omar Ghayatt
traduction et performance Georges Daaboul
scénographie Sylvie Kleiber
conception graphique Nicolas Robel, B.u.L.b. grafix
management Marine Magnin
développement international Judith Martin – Ligne Directe
production et communication Charlotte Terrapon
technique Eric Mutel

production Dreams Come True (Genève)
coproduction Théâtre de l’Arsenic – Lausanne, Dampfzentrale Bern, Théâtre du GRÜ – Genève, La Bâtie – Festival de Genève
coréalisation FRAC Alsace, Montévidéo Marseille | soutiens Ville de Genève, République et Canton de Genève, Fonds municipal d’art contemporain – Genève, Loterie Romande, Pro Helvetia Le Caire, Pro Helvetia – Fondation suisse pour la culture – Zurich, Valiart Bern, Fondation Meyrinoise du Casino, Fondation Leenaards, CORODIS