SUPERNOVA

Théâtre

durée 1h10


représentations tout public

"Avec sa maîtrise de l’espace, sa direction d’acteur rigoureuse et sa forme économe, Supernova déplie un théâtre fondé sur le goût pour la narration et procure un vif plaisir : celui de découvrir un théâtre où la croyance dans la puissance du récit n’oblitère pas une réflexion stimulante sur la mise enjeu de celui-ci."
Caroline Châtelet, Théâtre(s)
 

"Une nouvelle de Jack London adaptée comme une métaphore de notre monde en perdition."
Joelle Gayot, Télérama Sortir 
 

"Le premier mérite revient à la performance des acteurs : Iannis Haillet, le chercheur d'or de London, happe par sa présence et son jeu tout en retenue, qui fait de cette descente aux enfers une expérience aux allures initiatiques. [...] Ce sont des qualités d'acteur autant que de conteur qui nous emportent lors de cette première partie. Ils parviennent à nous fasciner comme une diseuse de bonne aventure."
Julia Wahl, Toute la culture
 

"Trois comédiens nous invitent dans cet univers, un entre-deux mi-spectaculaire, mi-intime, en nous présentant trois histoires qui vont solliciter notre imaginaire, du fleuve Klondike dans le Grand Nord canadien aux confins de la Birmanie…Par de simples incrustations de mots, de touches de lumière et de musique en demi-teinte, la poésie des textes va se mêler à leur rugosité et leur cruauté. (...) La Supernova de Thomas Pondevie, comme dans un spectacle de prestidigitateur, nous illumine de ses feux éphémères et fantastiques."
Le Petit Rhapsode

 

Supernova repose sur l’installation hors les murs d’une « boîte à récits », dispositif scénographique mobile et transformable à mi-chemin de l’univers des entre-sort forains et des spectacles de prestidigitateurs. Trois comédiens s’y succèdent pour raconter, chacun leur tour et à leur manière, la marche d’un chercheur d’or à travers le grand nord canadien, le dernier tour de piste d’un jeûneur professionnel, et le dilemme d’un soldat anglais enjoint de mettre à mort un éléphant. Progressivement, ils s’enfoncent dans l’univers de ces nouvelles de Franz Kafka, de Jack London et de George Orwell en mobilisant pas à pas les outils du théâtre et en invitant les spectateurs à explorer les configurations d’un décor à multiples facettes. En prise avec des récits parfois sombres qui, tous, disent quelque chose de la vanité des hommes, les narrateurs ne renoncent jamais. Avec les moyens du bord, ils continuent envers et contre tout de tenir la représentation, en jouant à exposer toujours, non sans décalage, la fabrique de l’illusion.


avec Iannis Haillet, Caroline Menon-Bertheux, Romain Pierre

d'après
Franz Kafka Un artiste de la faim © Editions Gallimard,
Jack London Construire un feu,
George Orwell Comment j’ai tué un éléphant

conception et mise en œuvre Thomas Pondevie
scénographie et costumes Charles Chauvet
création lumières et régie générale Fanny Perreau

composition musicale Sébastien Angel 
collaboration artistique Elise Chatauret

Production déléguée Nouveau théâtre de Montreuil – CDN
Coproduction Compagnie Babel (dans le cadre de sa résidence triennale à Herblay-sur-Seine), MC2 Scène Nationale de Grenoble, Points Communs, Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise
Soutien Ministère de la Culture – DRAC Île-de-France au titre de l’aide au projet, Ministère de la Culture et de l’éducation nationale – création en cours 2016-2017, Région – service culture et jeunesse, Jeune Théâtre National, David Bouchard – L’Arrach’Chœur


logo région ile de france

En savoir plus
Théâtre

Supernova repose sur l’installation hors les murs d’une « boîte à récits », dispositif scénographique mobile et transformable à mi-chemin de l’univers des entre-sort forains et des spectacles de prestidigitateurs. Trois comédiens s’y succèdent pour raconter, chacun leur tour et à leur manière, la marche d’un chercheur d’or à travers le grand nord canadien, le dernier tour de piste d’un jeûneur professionnel, et le dilemme d’un soldat anglais enjoint de mettre à mort un éléphant. Progressivement, ils s’enfoncent dans l’univers de ces nouvelles de Franz Kafka, de Jack London et de George Orwell en mobilisant pas à pas les outils du théâtre et en invitant les spectateurs à explorer les configurations d’un décor à multiples facettes. En prise avec des récits parfois sombres qui, tous, disent quelque chose de la vanité des hommes, les narrateurs ne renoncent jamais. Avec les moyens du bord, ils continuent envers et contre tout de tenir la représentation, en jouant à exposer toujours, non sans décalage, la fabrique de l’illusion.


durée 1h10


représentations tout public

"Avec sa maîtrise de l’espace, sa direction d’acteur rigoureuse et sa forme économe, Supernova déplie un théâtre fondé sur le goût pour la narration et procure un vif plaisir : celui de découvrir un théâtre où la croyance dans la puissance du récit n’oblitère pas une réflexion stimulante sur la mise enjeu de celui-ci."
Caroline Châtelet, Théâtre(s)
 

"Une nouvelle de Jack London adaptée comme une métaphore de notre monde en perdition."
Joelle Gayot, Télérama Sortir 
 

"Le premier mérite revient à la performance des acteurs : Iannis Haillet, le chercheur d'or de London, happe par sa présence et son jeu tout en retenue, qui fait de cette descente aux enfers une expérience aux allures initiatiques. [...] Ce sont des qualités d'acteur autant que de conteur qui nous emportent lors de cette première partie. Ils parviennent à nous fasciner comme une diseuse de bonne aventure."
Julia Wahl, Toute la culture
 

"Trois comédiens nous invitent dans cet univers, un entre-deux mi-spectaculaire, mi-intime, en nous présentant trois histoires qui vont solliciter notre imaginaire, du fleuve Klondike dans le Grand Nord canadien aux confins de la Birmanie…Par de simples incrustations de mots, de touches de lumière et de musique en demi-teinte, la poésie des textes va se mêler à leur rugosité et leur cruauté. (...) La Supernova de Thomas Pondevie, comme dans un spectacle de prestidigitateur, nous illumine de ses feux éphémères et fantastiques."
Le Petit Rhapsode

 

avec Iannis Haillet, Caroline Menon-Bertheux, Romain Pierre

d'après
Franz Kafka Un artiste de la faim © Editions Gallimard,
Jack London Construire un feu,
George Orwell Comment j’ai tué un éléphant

conception et mise en œuvre Thomas Pondevie
scénographie et costumes Charles Chauvet
création lumières et régie générale Fanny Perreau

composition musicale Sébastien Angel 
collaboration artistique Elise Chatauret

Production déléguée Nouveau théâtre de Montreuil – CDN
Coproduction Compagnie Babel (dans le cadre de sa résidence triennale à Herblay-sur-Seine), MC2 Scène Nationale de Grenoble, Points Communs, Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise
Soutien Ministère de la Culture – DRAC Île-de-France au titre de l’aide au projet, Ministère de la Culture et de l’éducation nationale – création en cours 2016-2017, Région – service culture et jeunesse, Jeune Théâtre National, David Bouchard – L’Arrach’Chœur


logo région ile de france

En savoir plus