TARQUIN

20.09.2019 > 06.10.2019
Grande salle Jean-Pierre Vernant
drame lyrique


VEN 20 SEP > DIM 06 OCT

durée estimée 2h

mardi 20h,
mercredi 20h,
vendredi 20h,
samedi 18h,
dimanche 17h,
relâche les lundis et jeudis

Salle Jean-Pierre Vernant
10 place Jean Jaurès, 93100 Montreuil


Spectacle accessible aux personnes malvoyantes ou aveugles
dimanche 29 septembre à 17h
, audio-description et visite tactile du plateau réalisées par Accès Culture

Fidèles à leur style d’écriture au plateau - le texte change en fonction des répétitions, le spectacle s’écrit sur scène -, la Vie brève déverse aussi sa fantaisie de dialogues en rupture ou de situations décalées. Guillaume Tion, Libération
 

Ce Tarquin dans la jungle est un plaisir pour l'oeil, l'oreille et l'esprit. Jeanne Candel renoue avec sa verve créatrice, en mixant images fortes, séquences absurdes, flashs tragiques et gags irrésistibles. Philippe Chevilley, Les Echos
 

Jeanne Candel entame un recherche très intéressante entre texte et musique, avec des interprètes formidables. Anna Sigalevitch, La Dispute

Un spectacle très agréable, doux et beau. Jean-Christophe Brianchon, La Dispute

Ici, la musique est une actrice, elle guide le texte, parfois elle l’initie.  Le travail sur le son est totalement éblouissant (...) A voir absolument. Amélie Blaustein Niddam, Toute La Culture 

Surprenante mais sublime proposition que signent Jeanne Candel et les compagnons de La Vie Brève (...) Tarquin est un spectacle complet et immense, qui vient gratter une matière obscure. Il est insaisissable tant il maîtrise et bouscule à la fois les conventions. Un Fauteuil pour l'Orchestre

“Tarquin” déploie sa puissance scénique et musicale, ses grands écarts entre rire et gravité, ses envolées magiques, dans un même élan généreux pétri d’intelligence et de fantaisiePariscope

Rencontre
samedi 28 septembre à l’issue de la représentation
, rencontre organisée par l’Association de la Cause Freudienne : « Les figures du mal, un traitement de l’indicible par l’humour et la musique ». Dialogue entre Bénédicte Jullien, psychanalyste et membre de l’école de la Cause Freudienne, et l’équipe artistique du spectacle, animé par Marion Outrebon.

Jeanne Candel et ses complices de La vie brève imaginent un « opéra-théâtre » sur la figure du mal. Un drame lyrique teinté de la fantaisie décalée chère à la compagnie.

Quelque part en Amérique latine, dans un espace énigmatique qui semble hanté, rôde la silhouette du Général Tarquin, emblème des tyrans d’hier et d’aujourd’hui. Une juge mène l’enquête : où se trouve maintenant ce criminel ? L’intrigue policière est traversée par les images mentales de Marta, vibrante chanteuse de tango dont le destin croisa un jour celui de Tarquin. Cinq acteurs-chanteurs et un quatuor d’ac- teurs-musiciens (accordéon, violon, violoncelle et clarinette) portent ce drame lyrique tandis que l’espace fait entendre toute une vie sonore. La metteuse en scène Jeanne Candel poursuit sa recherche d’un théâtre indissociable de la musique où s’exprime aussi la jubilation de la scène. Elle collabore ici avec l’écrivain Aram Kebabdjian, qui signe le livret, et retrouve Florent Hubert, déjà directeur musical du Crocodile trompeur/Didon et Enée (Molière 2014 du meilleur spectacle musical). Ici, la partition emprunte au baroque, en particulier à la cantate La Lucrezia de Haendel, et aux traditions populaires sud-américaines. L’humour absurde introduit des bulles de légèreté dans une réflexion sur la complexité du mal, et l’espoir de s’en libérer.


de et avec Florent Baffi, Delphine Cottu, Myrtille Hetzel, Antonin Tri Hoang, Sébastien Innocenti, Léo-Antonin Lutinier, Damien Mongin, Agathe Peyrat, Marie Salvat

mise en scène Jeanne Candel
musique Florent Hubert avec la collaboration d’Antonin Tri Hoang
livret Aram Kebabdjian
création costumes Pauline Kieffer
scénographie Lisa Navarro
lumières Anne Vaglio
chef de chant Nicolas Chesneau
assistant à la mise en scène Yannick Bosc
assistante scénographie Justine Baron
régie générale Vincent Lefèvre
régie plateau et surtitrage Mathieu Coblentz
régie lumière Carole Van Bellegem
réalisation des costumes Pauline Kieffer, Nathalie Trouvé, Nathalie Saulnier
coiffures et perruques Catherine Saint-Sever
nomenclature accordéon, bandonéon, clarinettes, saxophone, violon, violoncelle
 

Production La vie brève - Théâtre de l’Aquarium
Coproduction Nouveau théâtre de Montreuil – CDN ; Le Théâtre de Lorient – Centre dramatique national ; La Comédie de Valence – CDN Drôme-Ardèche ; Le Théâtre de Caen ; Le Grand T – Théâtre de Loire-Atlantique ; Le Théâtre de la Cité – CDN Toulouse-Occitanie
Construction du décor Le Grand T – Théâtre de Loire-Atlantique
Réalisation de costume Le Théâtre de la Cité – CDN Toulouse-Occitanie
Soutien Arcadi Ile-de-France et la SPEDIDAM
Remerciements Angeline Estrade, et pour la traduction Hélène Kebabdjian et Diane Raillard

drame lyrique

Jeanne Candel et ses complices de La vie brève imaginent un « opéra-théâtre » sur la figure du mal. Un drame lyrique teinté de la fantaisie décalée chère à la compagnie.

Quelque part en Amérique latine, dans un espace énigmatique qui semble hanté, rôde la silhouette du Général Tarquin, emblème des tyrans d’hier et d’aujourd’hui. Une juge mène l’enquête : où se trouve maintenant ce criminel ? L’intrigue policière est traversée par les images mentales de Marta, vibrante chanteuse de tango dont le destin croisa un jour celui de Tarquin. Cinq acteurs-chanteurs et un quatuor d’ac- teurs-musiciens (accordéon, violon, violoncelle et clarinette) portent ce drame lyrique tandis que l’espace fait entendre toute une vie sonore. La metteuse en scène Jeanne Candel poursuit sa recherche d’un théâtre indissociable de la musique où s’exprime aussi la jubilation de la scène. Elle collabore ici avec l’écrivain Aram Kebabdjian, qui signe le livret, et retrouve Florent Hubert, déjà directeur musical du Crocodile trompeur/Didon et Enée (Molière 2014 du meilleur spectacle musical). Ici, la partition emprunte au baroque, en particulier à la cantate La Lucrezia de Haendel, et aux traditions populaires sud-américaines. L’humour absurde introduit des bulles de légèreté dans une réflexion sur la complexité du mal, et l’espoir de s’en libérer.



VEN 20 SEP > DIM 06 OCT

durée estimée 2h

mardi 20h,
mercredi 20h,
vendredi 20h,
samedi 18h,
dimanche 17h,
relâche les lundis et jeudis

Salle Jean-Pierre Vernant
10 place Jean Jaurès, 93100 Montreuil


Spectacle accessible aux personnes malvoyantes ou aveugles
dimanche 29 septembre à 17h
, audio-description et visite tactile du plateau réalisées par Accès Culture

Fidèles à leur style d’écriture au plateau - le texte change en fonction des répétitions, le spectacle s’écrit sur scène -, la Vie brève déverse aussi sa fantaisie de dialogues en rupture ou de situations décalées. Guillaume Tion, Libération
 

Ce Tarquin dans la jungle est un plaisir pour l'oeil, l'oreille et l'esprit. Jeanne Candel renoue avec sa verve créatrice, en mixant images fortes, séquences absurdes, flashs tragiques et gags irrésistibles. Philippe Chevilley, Les Echos
 

Jeanne Candel entame un recherche très intéressante entre texte et musique, avec des interprètes formidables. Anna Sigalevitch, La Dispute

Un spectacle très agréable, doux et beau. Jean-Christophe Brianchon, La Dispute

Ici, la musique est une actrice, elle guide le texte, parfois elle l’initie.  Le travail sur le son est totalement éblouissant (...) A voir absolument. Amélie Blaustein Niddam, Toute La Culture 

Surprenante mais sublime proposition que signent Jeanne Candel et les compagnons de La Vie Brève (...) Tarquin est un spectacle complet et immense, qui vient gratter une matière obscure. Il est insaisissable tant il maîtrise et bouscule à la fois les conventions. Un Fauteuil pour l'Orchestre

“Tarquin” déploie sa puissance scénique et musicale, ses grands écarts entre rire et gravité, ses envolées magiques, dans un même élan généreux pétri d’intelligence et de fantaisiePariscope

Rencontre
samedi 28 septembre à l’issue de la représentation
, rencontre organisée par l’Association de la Cause Freudienne : « Les figures du mal, un traitement de l’indicible par l’humour et la musique ». Dialogue entre Bénédicte Jullien, psychanalyste et membre de l’école de la Cause Freudienne, et l’équipe artistique du spectacle, animé par Marion Outrebon.

de et avec Florent Baffi, Delphine Cottu, Myrtille Hetzel, Antonin Tri Hoang, Sébastien Innocenti, Léo-Antonin Lutinier, Damien Mongin, Agathe Peyrat, Marie Salvat

mise en scène Jeanne Candel
musique Florent Hubert avec la collaboration d’Antonin Tri Hoang
livret Aram Kebabdjian
création costumes Pauline Kieffer
scénographie Lisa Navarro
lumières Anne Vaglio
chef de chant Nicolas Chesneau
assistant à la mise en scène Yannick Bosc
assistante scénographie Justine Baron
régie générale Vincent Lefèvre
régie plateau et surtitrage Mathieu Coblentz
régie lumière Carole Van Bellegem
réalisation des costumes Pauline Kieffer, Nathalie Trouvé, Nathalie Saulnier
coiffures et perruques Catherine Saint-Sever
nomenclature accordéon, bandonéon, clarinettes, saxophone, violon, violoncelle
 

Production La vie brève - Théâtre de l’Aquarium
Coproduction Nouveau théâtre de Montreuil – CDN ; Le Théâtre de Lorient – Centre dramatique national ; La Comédie de Valence – CDN Drôme-Ardèche ; Le Théâtre de Caen ; Le Grand T – Théâtre de Loire-Atlantique ; Le Théâtre de la Cité – CDN Toulouse-Occitanie
Construction du décor Le Grand T – Théâtre de Loire-Atlantique
Réalisation de costume Le Théâtre de la Cité – CDN Toulouse-Occitanie
Soutien Arcadi Ile-de-France et la SPEDIDAM
Remerciements Angeline Estrade, et pour la traduction Hélène Kebabdjian et Diane Raillard