CONCERT AVEC BANLIEUES BLEUES

04.07.2020 > 10.07.2020
Salle Maria Casarès
Concert

SAM 04 & VEN 10 JUILLET 

sur le parvis du théâtre / accès libre

SAMEDI 4 JUILLET – 19H – parvis du théâtre

PEPLUM |  Fantazio & Théo Ceccaldi , en partenariat avec Banlieues Bleues

Une boîte à surprises concoctée par l’alliance inédite de deux histrions de l’impro.

Il en fallait de l’imagination pour sortir Fantazio de sa résidence à la Villa Médicis. Ça tombe bien, Théo Ceccaldi n’en manque pas. Il faut dire que le performeur-contrebassiste et le jeune violoniste ont beaucoup en commun. Des petites mélodies qui leur tournent en tête comme des chars dans des arènes. L’envie de raconter des histoires, de préférence surréalistes, drôles et émouvantes. Le besoin de se confronter à toujours plus de musiciens différents. Un goût prononcé pour les échanges transversaux avec le théâtre ou la danse. Et un penchant certain pour la poésie bastringue A l’origine, « Péplum » était une idée à l’ancienne, simple et pure : jouer ensemble. La résidence de Théo à la Dynamo de Banlieues Bleues a fait le reste. Ils ont ainsi décidé de se faire tout un film avec pas grand-chose.  Pour y parvenir, ils se sont entouré de la nouvelle garde du jazz hexagonal ( Antonin-Tri Hoang, Valentin Ceccaldi, Roberto Negro, Benjamin Flament). La matière ? Dix mélodies intimes, qui tournent depuis longtemps dans la tête et le corps de Fantazio. Des thèmes simples qu’il aime, entre une ritournelle à la Kurt Weill, une berceuse de Jiminy Cricket, une ballade pour crooner rockabilly, une chanson à la Nancy Sinatra (période Lee Hazlewood), la bande son d’un péplum de Kurosawa… Et au coeur de Peplum, Fantazio, comédien-musicien-chanteur charismatique, en plein bouillonnement semi-improvisé, de chants multilingues, de voix mutantes et d’histoires déboutonnées, pour une véritable fête foraine onirique. Pour cette reprise, Peplum prépare une version spéciale inspirée du confinement…

avec Fantazio voix, contrebasse, composition, Théo Ceccaldi violon, composition, arrangements, Valentin Ceccaldi violoncelle, Antonin-Tri Hoang clarinette basse, saxophones, claviers, Roberto Negro piano, piano préparé, claviers, Benjamin Flament percussions, métaux, électronique

VENDREDI 10 JUILLET – 19H – parvis du théâtre

NAÕNED | Maxime Delpierre , en partenariat avec Banlieues Bleues

Le guitariste branché aux courants jazz et rock alternatifs présente un étincelant premier album, au nom breton de son Nantes natal.

Il fait partie de ces guitaristes qui installent un monde en quelques notes. Car Maxime Delpierre, c’est un son mi-cristallin mi-volcanique qu’on reconnaît entre mille. Et pourtant, c’est le genre de type à préférer les équipées collectives aux échappées individualistes. Le garçon a tout simplement l’esprit de groupe collé à la peau, et sa gratte ne gueule jamais, elle chante fort – résultat, il est convoité par la crème de la scène hexagonale par-delà les chapelles, de Jeanne Added à Rachid Taha en passant par Louis Sclavis ou Joakim. Quant aux groupes inspirants, il en a généré à la chaîne : le post-rock cinégenique de Limousine, la pop décadente de Viva and The Diva, le disco transgénique de VKGN. Conséquence : c’est presque une surprise de le voir aujourd’hui lancer son premier projet sous son nom l’année de ses 45 balais. Fidèle à lui-même, Maxime Delpierre s’est entouré d’une bande de gars sûrs : David Aknin, le batteur de Limousine, Juan De Guillebon, le bassiste de Viva And The Diva. Et quoi de mieux pour imposer son nom que de célébrer la ville sans qui on ne serait pas qui on est ? Naoned, c’est le nom breton de Nantes. Là où Maxime Delpierre est né, et a donc eu envie de faire de la musique. Mais Naoned, c’est aussi tout l’imaginaire sonore du guitariste condensé en un mot. Un monde où il y a à boire, à manger, à vivre, à danser et à rêver. Comme un retour aux sources à la Proust où le Parisien rejouerait tout son parcours musical, de la pop au jazz en passant par la no wave, la folk ou l’electro avec la décontraction du type qui sait que l’histoire finit bien : Proust finit écrivain, Delpierre finit musicien.

avec Maxime Delpierre guitare, clavier, Juan De Guillebon basse, clavier, David Aknin batterie, percussions, électronique

Maxime Delpierre Naoned, en écoute ici.
 


Concert

SAMEDI 4 JUILLET – 19H – parvis du théâtre

PEPLUM |  Fantazio & Théo Ceccaldi , en partenariat avec Banlieues Bleues

Une boîte à surprises concoctée par l’alliance inédite de deux histrions de l’impro.

Il en fallait de l’imagination pour sortir Fantazio de sa résidence à la Villa Médicis. Ça tombe bien, Théo Ceccaldi n’en manque pas. Il faut dire que le performeur-contrebassiste et le jeune violoniste ont beaucoup en commun. Des petites mélodies qui leur tournent en tête comme des chars dans des arènes. L’envie de raconter des histoires, de préférence surréalistes, drôles et émouvantes. Le besoin de se confronter à toujours plus de musiciens différents. Un goût prononcé pour les échanges transversaux avec le théâtre ou la danse. Et un penchant certain pour la poésie bastringue A l’origine, « Péplum » était une idée à l’ancienne, simple et pure : jouer ensemble. La résidence de Théo à la Dynamo de Banlieues Bleues a fait le reste. Ils ont ainsi décidé de se faire tout un film avec pas grand-chose.  Pour y parvenir, ils se sont entouré de la nouvelle garde du jazz hexagonal ( Antonin-Tri Hoang, Valentin Ceccaldi, Roberto Negro, Benjamin Flament). La matière ? Dix mélodies intimes, qui tournent depuis longtemps dans la tête et le corps de Fantazio. Des thèmes simples qu’il aime, entre une ritournelle à la Kurt Weill, une berceuse de Jiminy Cricket, une ballade pour crooner rockabilly, une chanson à la Nancy Sinatra (période Lee Hazlewood), la bande son d’un péplum de Kurosawa… Et au coeur de Peplum, Fantazio, comédien-musicien-chanteur charismatique, en plein bouillonnement semi-improvisé, de chants multilingues, de voix mutantes et d’histoires déboutonnées, pour une véritable fête foraine onirique. Pour cette reprise, Peplum prépare une version spéciale inspirée du confinement…

avec Fantazio voix, contrebasse, composition, Théo Ceccaldi violon, composition, arrangements, Valentin Ceccaldi violoncelle, Antonin-Tri Hoang clarinette basse, saxophones, claviers, Roberto Negro piano, piano préparé, claviers, Benjamin Flament percussions, métaux, électronique

VENDREDI 10 JUILLET – 19H – parvis du théâtre

NAÕNED | Maxime Delpierre , en partenariat avec Banlieues Bleues

Le guitariste branché aux courants jazz et rock alternatifs présente un étincelant premier album, au nom breton de son Nantes natal.

Il fait partie de ces guitaristes qui installent un monde en quelques notes. Car Maxime Delpierre, c’est un son mi-cristallin mi-volcanique qu’on reconnaît entre mille. Et pourtant, c’est le genre de type à préférer les équipées collectives aux échappées individualistes. Le garçon a tout simplement l’esprit de groupe collé à la peau, et sa gratte ne gueule jamais, elle chante fort – résultat, il est convoité par la crème de la scène hexagonale par-delà les chapelles, de Jeanne Added à Rachid Taha en passant par Louis Sclavis ou Joakim. Quant aux groupes inspirants, il en a généré à la chaîne : le post-rock cinégenique de Limousine, la pop décadente de Viva and The Diva, le disco transgénique de VKGN. Conséquence : c’est presque une surprise de le voir aujourd’hui lancer son premier projet sous son nom l’année de ses 45 balais. Fidèle à lui-même, Maxime Delpierre s’est entouré d’une bande de gars sûrs : David Aknin, le batteur de Limousine, Juan De Guillebon, le bassiste de Viva And The Diva. Et quoi de mieux pour imposer son nom que de célébrer la ville sans qui on ne serait pas qui on est ? Naoned, c’est le nom breton de Nantes. Là où Maxime Delpierre est né, et a donc eu envie de faire de la musique. Mais Naoned, c’est aussi tout l’imaginaire sonore du guitariste condensé en un mot. Un monde où il y a à boire, à manger, à vivre, à danser et à rêver. Comme un retour aux sources à la Proust où le Parisien rejouerait tout son parcours musical, de la pop au jazz en passant par la no wave, la folk ou l’electro avec la décontraction du type qui sait que l’histoire finit bien : Proust finit écrivain, Delpierre finit musicien.

avec Maxime Delpierre guitare, clavier, Juan De Guillebon basse, clavier, David Aknin batterie, percussions, électronique

Maxime Delpierre Naoned, en écoute ici.
 


SAM 04 & VEN 10 JUILLET 

sur le parvis du théâtre / accès libre